Les autres "Françoise Hardy" ....

Pour faire suite au sujet de l'homonymie, je crée un article spécial sur le sujet...

Pour commencer, une jeune peintre "Françoise Hardy"
Académie des Beaux-Arts de Liège.
Licenciée en peinture chevalet, 2006.

Expositions

Paris-Brest, Belgique.
Restaurant Amour, Maracas et Salami ; Reliure Dorure, Belgique.
48ème Exposition - Groupement Européen des Artistes des Ardennes et de l'Eifel , Abbaye de Prûm, Allemagne.
Galerie Moulin du Brouskay, Belgique.
Exposition avec l'Académie des Beaux-Arts, Retinne, Belgique.
Concours "Artistes - Homme, Femme politique … de la Province de Liège", 2ème prix, Belgique.
Exposition de peintures, sculptures et de photographies, Presbytère de Glons - ASBL Reflet, Belgique.
Exposition avec l'Académie des Beaux-Arts, Région Wallonne, Belgique.
Exposition de peintures et sculptures &endash; Journées du Patrimoine, Presbytère de Wonck, Belgique.
Galerie Moulin du Brouskay, Belgique.

Françoise Hardy - C'est la pause (Janvier 2006)

Il y a aussi mon ex-beau-père, qui s'appelait François HARDY, ce qui valait à mon ex-belle-mère de recevoir certains courriers au nom de Françoise HARDY !

La veinarde..... Malheureusement pour moi, elle ne lui ressemble pas !!!!!

Une petite anecdote qui m'avait un peu mis en colère.
En faisant passer un oral de concours, il y a quelques années, j'ai eu la surprise amusée de voir arriver une candidate du nom de Françoise Hardy.
Après sa présentation du texte à étudier et des questions correspondantes, dès le début des questions dites "ouvertes", je lui ai demandé s'il y avait quelque avantage ou inconvénient à porter un patronyme célèbre.
Devant l'air ahuri de la candidate, je me suis rendu compte que ça ne lui posait aucun problème vu qu'elle n'avait pas l'air de connaître Françoise Hardy.
Alors moi, très agacé, "Bien sûr, vous vous seriez appelée Céline Dion, vous auriez eu beaucoup à nous dire !".
Sourires ironiques de mes trois collègues qui n'ignoraient pas combien c'était un sujet sensible pour moi, et encore plus ironiques quand je leur ai annoncé la note que je donnai à la candidate. Rassurez vous, je suis suffisamment honnête pour ne pas l'avoir massacrée à cause de ça. Mais elle l'aurait mérité. De toute façon, n'étant pas président de jury je ne comptais que pour 1/5è de la note.
L'année suivante, nous avons eu une Sonya Delaunay qui, non seulement ne savait pas qui était Sonya Delaunay mais n'avait même jamais du entendre parler de peinture.
Ce qui me fait penser que lors d'une émission de télé (fin des années 60 ?), Françoise avait porté une robe longue (c'était encore quand elle portait des robes) dont le tissu s'inspirait d'une oeuvre de Sonya Dalaunay. C'est elle même qui l'avait précisé.

Bien sûr je voulais dire "s'inspirait d'une oeuvre de Sonia DElaunay"

Ton histoire m' a fait mourir... de rire !!!! Elle avait quelle âge, cette Françoise Hardy de pacotille ? Je crois qu'à ta place je l'aurais saquée.... C'était un concours de quoi ?

Quant à Sonya Delaunay, shame on me, je ne la connais pas non plus.... Peut-être que si tu nous m'étais la robe de Françoise, je la reconnaîtrais ?!

Bon d'accord, c'est pas très facile de trouver des homonymes de Françoise Hardy mais Sonia Delaunay n'a pas grand chose en commun.... avec le titre du topic... mais c'est vrai que les couleurs de Sonia Delaunay sont très jolies :

Bon d'accord, je n'aurais pas dû diverger, mais c'était dans la lignée de l'anecdote F. Hardy et puis j'ai encore dans les yeux cette robe des années 60 (l'émission de télé était en noir et blanc mais dans l'article de Télé 7 jours la photo, magnifique, était en couleur).
Et puis je dois avouer que je travaille à quelques mètres de l'atelier que Sonia Delaunay et son mari occupaient dans le 7ème, rue saint Simon.
Un indice pour toi Jmolo, c'est le quartier dit "des ministères".

C'est drôle cet article même si on ne peut s'empêcher de se dire : "La pauvre ! Quel malchance pour elle. Ce doit pas être drôle tous les jours...."

Mais pour la consoler on peut lui dire qu'il y a des homonymies plus lourdes à porter...

J'ai entendu parler d'un homme qui a le privilège encore plus pesant de s'appeler Jacques Chirac comme notre ex-président !

Moi, çà ne me déplairait pas de m'appeler Françoise HARDY...........

Jmolo, je veux bien m'appeler Jacques Dutronc si tu t'appelles Françoise Hardy.

Oui mais alors chacun son étage...... comme chez les Hardy/Dutronc !

Génial cet article! D'où vient-il ?

La dame en question devrait chanter : " Savez-vous ce que c'est que porter un nom qui n'est plus à soi ? " Mais n'est pas "Star" qui veut...

Ceci dit, elle n'a pas dû avoir que des désavantages. Pour ses réservations, du moins... Quoiqu'elle en dise... Elle a sûrement bénéficié de places priviligiées... Il n'est pas dit que notre Françoise téléphone toujours elle-même pour faire ses réservations. Et elle a eu pas mal de secrétaires, attachés de presse, etc...

Homonyme
parfait, Françoise Hardy joue la discrétion dans son petit atelier de la rue du Temple à Auxerre où elle s'applique à la machine à coudre depuis vingt-deux ans.




Alexandre Stobinsky
alexandre.stobinsky@centrefrance.com

Déjà, il y a ce nom. Pas le plus désagréable de la chanson française à porter mais être un homonyme de l'ombre peut être bouleversant. Elle s'en est remise. Preuve que le mariage a aussi du bon, Françoise Bouin n'est devenue Hardy qu'en 1964. Petit changement dans la vie de l'Icaunaise née en 1943 à côté de Tonnerre. Les quiproquos commencent, l'autre Françoise est déjà une chanteuse adulée. Mais la nôtre, elle, élève ses deux enfants aucun ne s'appelle Thomas à l'abri des paparazzi. Alors que tous les garçons et les filles de son âge ne se promènent plus dans les rues deux par deux, Françoise se met à travailler. En 1988, elle investit un atelier de couture, rue du Temple à Auxerre. Vingt-deux ans plus tard, elle s'y applique toujours.

Petites mains et bouche à oreille.
Les petites mains sont discrètes. On aurait pu imaginer un panneau lumineux dans la rue commerçante auxerroise : « Françoise Hardy, maison de confection et de retouches. » Après tout, elle a bien le droit. Il y a bien des auto-écoles G. Roux. La couturière a préféré le bouche à oreille, « la pub, ça ne marche pas ». Après tout, son atelier, c'est un peu chez elle. On y laisse plus volontiers entrer les copains. Avec le nom d'une icône de la chanson, on a l'obligation d'être accueillante. En haut d'un escalier, l'atelier Hardy est gardé. Un molosse Jack Russell, Bamba, veille sous un écriteau : « Ayez 'obligeance de me parler avec douceur sans élever le ton et sans me contrarier en aucune manière. » Compris.

Montagnede vêtements
Escorté par Bamba, on s'avance au milieu des montagnes de vêtements. Aux murs, des dizaines de cartes postales envoyées par les clients. En fond sonore, RTL toute la journée à peine couvert par le bruit de la machine.
Dans ce vaste fourbi au charme intemporel, Françoise Hardy est forcément aidée par les astres. La couturière ne perd rien, rend toujours les vêtements à l'heure, « la moindre des corrections ». Deux décennies de couture et aucuns regrets, si ce n'est de faire moins de confection. « Le sur-mesure, c'est quasiment terminé. Ca coûte trop cher. » Les grands magasins de vêtements qui ont tiré les prix vers le bas renvoient quelque peu l'ascenseur. Françoise Hardy fait leurs retouches. Preuve sans doute que tout est bien fait.

Fin de carrière
En vieillissant, de toute façon, on s'améliore. On écoute davantage. « Une couturière, c'est aussi une sorte de confidente, explique Françoise. Les gens l'arrêtent, prennent un café, discutent. Je ne sais pas, ils doivent se sentir bien sous les toits. » Pour tout dire, en plein hiver, il y fait très bon. Mais voilà, Françoise Hardy pense à sa fin de carrière alors qu'elle vient de découvrir qu'elle ne chantait pas faux contrairement à ce que son père joueur de violon lui avait répété. Bientôt 68 ans, un âge raisonnable pour quitter la scène. Et éviter les amalgames. Une nouvelle cliente nommée Bardeau (juré !) rentre à son domicile et lance à son mari : « J'ai rencontré une couturière à Auxerre, tu vas rire. Elle s'appelle Sylvie Vartan. » Mauvaise chanteuse.

(source : http://www.lyonne.fr/editions_locales/region/francoise_hardy_coud_sans_chanter@CARGNjFdJSsBFRsACxQ-.html )

Et son mari, il s'appelle Jacques Dutronc ??

Ben tu sais pas lire ? C'est à cause de lui qu'elle s'appelle Hardy donc son mari c'est M. Hardy ! Et ça à mon avis c'est encore plus compliqué à porter quand on précise qu'on a une femme qui s'appelle Françoise.

Attendez, j'arrive pas à suivre, son mari s'appelle Hardy parce qu'elle s'appelle Sylvie Vartan ? ? ? On s'y perd avec tous ces peoples !

Dis donc Claude, cette Françoise Hardy, c'est celle à qui tu faisais passer un examen oral !!!

En ce moment, Françoise Hardy expose à la galerie Color Attitude, Moka.



Découvrez le visage de cette homonyme célèbre :


Porter ce nom doit porter chance à une artiste. Ses toiles sont très belles je trouve.

source : http://www.lexpress.mu/gallery/31-332-1958-lexpress-francoise-hardy-expose-a-la-galerie-color-attitude-moka.html

Et bien, j'aime ce genre de peinture !!

Une autre Françoise Hardy, également peintre mais belge cette fois !!
http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=39362087

Je ne connaissais pas la Françoise Hardy de l'île Maurice mais la liégeoise en revanche est celle qui a permis d'ouvrir le sujet. en 2007.

Le style de la Françoise Hardy de l'île Maurice me plaît bien avec ses grandes couleurs solaires.

Sinon, il y a une Françoise Hardy dont on parle souvent à Paris : celle qui est responsable de la sécurité routière à la préfecture de police !


( source : http://www.asso-scooter.org/Quinzaine-de-la-Securite-Routiere?id_document=4324 )

Françoise Hardy arrête ses tournées de galettes
Publié le 08/10/2017 à 02:22



Source : https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/saint-nazaire-44600/francoise-hardy-arrete-ses-tournees-de-galettes-5299858