Françoise Hardy dans Jours de France (1ère partie)

Jours de France relatait le vingtième anniversaire de Françoise Hardy dans son numéro du 1er février 1964.

Vendredi 17 janvier, à midi trente (l'heure habituelle de son réveil), Françoise Hardy a eu vingt ans. Une pluie de cadeaux s'est abattue sur elle. Le photographe Jean-Marie Périer (qu'elle appelle "son compagnon des bons et des mauvais jours", préférant cette métaphore au mot fiancé) lui a offert une splendide montre en or blanc, avec des étoiles d'or jaune et un bracelet de daim : le tout signé Cartier.


De sa sœur, Michèle (d'un an et demi sa cadette), elle a reçu un gros album illustré (en édition de luxe) sur l'histoire de la magie, sujet qui passionne Françoise. Joignant l’utile à l'agréable, leur mère, Mme Hardy, lui a remis une trousse de couture. "Voilà pour la famille", dit Françoise, qui, de son côté, s'est acheté, en vue de ses prochains déplacements, trois sacs à bandoulière ("mon bagage préféré") ; et "pour satisfaire un sentiment de curiosité professionnelle bien légitime", le premier disque de J.-C. Brialy ("l'adorable et spirituel Jean-Claude").

C'est un peu étrange de nous déballer une telle liste de cadeaux....

Sinon, moi aussi j'aimerais bien connaître le premier disque de Brialy dont Horisontalement a l'air d'être le titre phare.

Jean-Claude Brialy chante une chanson de Jean Ferrat

Sur le fond du sujet traité par Jours de France, c'est d'une vacuité abyssale . Rien sur ses projets, ses compositions en cours, du people sans intérêt.

Alain, merci pour la chanson (je ne la connaissais pas).

Elma, c'est vrai que l'article commence de façon zarbi.. Pour plagier la chanson de Ferrat je dirai que verticalement ce n'est pas une affaire je sais bien, mais qu'horizontalement peut-être l'article peut être apprécié de loin... .