Ce qui est bien avec les journalistes étrangers c'est qu'ils ne sont pas pollués par les préchi précha franco-français. Joëlle Merkens va directement au fond des choses et ose s'interroger sur le sens réel des choses.
Du coup, Françoise se dévoile avec beaucoup plus d'intensité et de sincérité sans rabâcher un discours tout préparé pour la foultitude d'interviews qu'elle donne à la queue leu leu, plus par devoir que par conviction.
Il me semble que X. contient de moins en moins de Jacques Dutronc mais de plus en plus de rêve éveillé....