8 mars 2017 - Schnock

Françoise Hardy sera en vedette dans le prochain numéro de Schnock à paraître le 8 mars (selon Amazon).

Aperçu de la couverture :


Je ne suis pas une baba cool !
Un dossier de rien moins de 62 pages sur l'intéressée.

Plus d'informations à venir directement sur le site de la revue http://larevueschnock.com/

Mais qui a bien pu prendre Françoise pour une baba cool? 

Un indice : pour Sardou, le slogan était « Faut qu’on se marre ! »

L’Édito
Le Trombinoschnock

• « Bien entendu c’est on » par Éléonore Cambret
  
• Top 15 des candidats cinématographiques aux élections, par Christophe Ernault
  
• Schnock Tourisme : T’as voulu voir Balbec par Vincent Noyoux
  

• « Je ne suis pas une baba cool ! » entretien avec Françoise Hardy par Laurence Rémila
  
• Le Petit Hardy illustré, par Christian Eudeline
  
• Jean-Marie Périer : « Françoise représente la Française idéale » propos recueillis par Laurence Rémila
  
• Françoise Hardy, french beauté in the monde entier, par Mathieu Alterman
  
• Le soir où Hardy sauva un concert de Dylan, par Christian Eudeline
  
• Film me Hardy (Françoise, actrice en pointillés) par Pierre Léonforte
  
• Françoise la Vénusienne, par Jean-Emmanuel Deluxe
  
• Étonnez-nous, Patrick… ! par Louis-Henri de La Rochefoucauld
  
• Jean-Michel Jarre : « Une icône pop française » propos recueillis par Laurence Rémila
  
• Top 10 Françoise Hardy, par Alister
  
• Pierre Douglas : « Tant que la boîte à conneries fonctionne, pourquoi voulez-vous que j’arrête ? » par Olivier Monssens
  
• Le Dico hollywoodien des tifs par Antoine Sire
  
• Frank Margerin – Lucien par Mathieu Alterman
  
• Jean-François Balmer : « Je n’ai jamais rien fait d’alimentaire » par Laurent Jaoui
  
• Marie-Paule Pellé, femme du monde par Anne Eveillard
  p.146 Stash Klossowski, le prince maudit du rock par Jean-Emmanuel Deluxe
  

• Nos Trésors cachés ne le restent jamais très longtemps
  
• Lourdes, lentes… de André Hardellet par Thomas Morales
  
• Garlick de Hugues Aufray par Benoît Sabatier
  
• T’aime de Patrick Sébastien par Sébastien Thoen
  
• Le Schnock des photos : Le Acid Test à Hollywood par Lawrence Schiller
  

Source : http://larevueschnock.com/schnock-n22/

Schnock n°22, Françoise Hardy : "J'étais jeune, je sortais de mon trou." (Extraits)

Source : http://www.la-tengo.com/index.php?post/2017/03/06/Schnock-n%C2%B022%2C-Fran%C3%A7oise-Hardy-%3A-J-%C3%A9tais-jeune%2C-je-sortais-de-mon-trou.-(Extraits)

Le pendant féminin de Johnny Hallyday était déjà chez RCA Victor. 

Je suppose que tu parles de Sylvie Vartan
A l'époque Vogue rêvait de son propre pendant féminin "maison". Françoise Hardy a joué le jeu pour l'audition (pour laquelle elle a travaillé " Oui mon cher " et "24000 baisers"), mais ensuite, on ne peut pas vraiment penser qu'elle a correspondu à l'ambition de départ de Vogue.

Ce qui est marrant ce sont des "yeh yeh" et "han han" qu'elle fait sur certaines chansons entre 62 et 64. C'est assez discret, et au tout début son swing yéyé l'est tout autant (discret). Rétrospectivement, il me semble qu'elle incarne la French touch mieux qu'aucun et qu'aucune autre, car tout en s'associant à sa génération fascinée par le rock ou l'univers du rock américain et anglais, Françoise ne les imite pas.  

Le fait qu'elle se trouve à la croisée de différents univers: rock, folk et chanson française, fait qu'elle est aimée de tout le monde. Elle est reconnue par sa génération, respectée par les représentants de la chanson française, et fascine autant les folkeux que les rockeurs. Je crois que c'est une sorte de talent naturel et d'humilité qui lui a fait enregistrer, finalement, des choses assez variées. Entre la veine folk du Premier bonheur du jour et la tonalité rock de Je n'attends plus personne ou Tout ce qu'on dit, elle séduit un peu tous azimuts. 

Côté chanson française, on a commencé à l'admirer avec l'album Ma jeunesse fout le camp (je crois), mais on devait apprécier déjà les qualités d'une plume limpide et sincère. 

Exemple:

Si dormir avec toi n'est pas le bout du monde
Ce le devient pourtant dès que tu n'es plus là

ça n'a l'air de rien que pour ceux qui ne prêtent pas attention. 

Quelqu'un l'a lu ?

Je devrais l'avoir en début de semaine prochaine mais je suis assez confiant sur le contenu, ayant déjà eu l'occasion de parcourir d'anciens numéros.

Il est probable qu'il y aura quelques petites erreurs mais dans l'ensemble ça devrait être une présentation globale digne d'intérêt.

Sur facebook, Erik Doorme rapportait que Françoise Hardy n'était pas contente du résultat ...

Françoise Hardy a écrit:

De toute façon, je n’aime pas du tout cette interview . Je ne m’exprime pas ainsi, il y a des tas de petites inexactitudes ou dénaturations et je regrette de ne pas avoir demandé un droit de regard qui m’aurait permis de rewriter les choses un peu plus correctement ou élégamment - comme j’ai pu le faire pour Gala. De plus, je pose toujours cette condition quand je ne suis pas demandeuse, ce qui était évidemment le cas, et je devais vraiment être ailleurs dans ma tête pour ne pas y avoir pensé. Tout me déplaît dans cette revue et j’ai refusé d’aller dans je ne sais quelle librairie pour en signer des exemplaires, comme la rédaction le souhaitait"

Connaissant l'intransigeance aveugle de Françoise Hardy pour des micro-détails, ce ne doit cependant pas être bien méchant.

A confirmer.

Je l'ai acheté mercredi et il y a une bourde énorme. On en recause .

Dites 22 ! : le nouveau Schnock est arrivé.
François Angelier sur France Culture

la revue indémodable nous offre, avec son numéro 22, un dossier grave et fervent consacré à Françoise Hardy

Françoise Hardy, 1968• Crédits : MICHAEL HOLTZ / PHOTO12 - AFP
22, vlà Schnock ! La revue de "ceux qui ont eu vingt ans un jour" nous offre, entre autres délectables curiosités, dans cette dernière livraison, grisante, érudite et impeccable , un dossier-fleuve sur Françoise Hardy, mystique, tonique et flegmatique ; une évocation de Proust à Évian, un entretien avec Jean-François Balmer, un portrait de Stash Klossowski de Rola et, last but not the least, un palmarès des plus grandes incarnations à l'écran de candidats aux élections , de Gabin, dans le rôle du Président Émile Beaufort, à Depardieu incarnant le député Maurice Babin dans Potiche. Bref, vous l'aurez compris, une fois encore et comme toujours, un numéro indispensable.

Source : https://www.franceculture.fr/emissions/les-emois/dites-22-le-nouveau-schnock-est-arrive

Globalement j'ai trouvé le dossier Schnock sympa, plutôt agréable à lire, joyeux et sans prétention.

Avant de le publier, il aurait néanmoins été judicieux de le faire relire par un "expert" es Françoise Hardy pour en corriger quelques dates et quelques titres approximatifs de chansons. Chaque petite erreur en soi prise de façon isolée ne change pas grand chose mais l'accumulation finit par être perturbante y compris pour les légendes des photographies (Pourquoi par exemple légender une photo de Jean-Marie Périer et Françoise par "Le couple en 1960" alors qu'ils ne se sont rencontrés qu'en 1962 ?)

Au final, le seul vrai regret sera d'avoir pratiquement réduit la carrière de Françoise Hardy aux années 60 et 70. Pour le reste, il est fait parfois allusion aux années 80 (mais très peu) mais pas vraiment au-delà.

Quant à la carrière scénique, elle est survolée et les prestations réalisées avant l'Olympia de novembre 63 sont ignorées comme si elles n'avaient même pas existé. En même temps, le but du dossier est de se "re"familiariser avec les basiques de la carrière de Françoise Hardy.....
Cela aurait néanmoins été plus intéressant d'approfondir cet aspect plutôt que d'évoquer en long et en large la carrière cinématographique de Françoise Hardy qui elle relève tout de même davantage de l'anecdote.

Malgré toutes ces petites imperfections, ce dossier est sympa et bien iconographié. J'ai d'ailleurs particulièrement apprécié de voir l'EP "Tous les garçons et les filles" aux pieds de Bob Dylan sur la photo destinée à son album bringing it all back home.

En revanche je n'ai pas aimé le "top 10" des chansons non "best-ofées" qui m'est apparu comme un pur snobisme journalistique pour faire branchouille.

Je relirai le dossier de façon plus attentive ultérieurement pour compléter mon feed-back.

Tout se bestofe maintenant. Paraît qu'il y a même des textes bestofables de La Fontaine.  

La fameuse photo alternative ayant servi à l'album de Dylan "bringing it all back home"


Zoom aux pieds de Dylan


La pochette finalement retenue (autre prise de vue, recadrage et disparition de l'EP)

Superbe photo. La femme sur le divan est l'épouse d'Albert Grossman, le manager de Dylan.

Il me revient une autre erreur qui m'a frappé lors de la lecture mais que j'ai oublié de mentionner c'est la tenue de scène Paco Rabanne...

Schnock confond la robe en or sertie de diamants portée par Françoise pour l’inauguration de l’exposition internationale du diamant de 1968 (« la robe la plus chère du monde », mini-robe effectivement signée Paco Rabanne mais faite d’un assemblage de mille plaquettes d’or _ pour un poids total de neuf kilos _ et ornée de 22 diamants énormes) avec la combinaison métallique (16 kg) portée au Savoy. Étrangement, dans l'entretien, Françoise Hardy elle-même ne semble pas se rendre compte de la méprise :

Schnock : "Vous avez également porté du Paco Rabanne - la mythique minirobe de plaques d'or incrustées de diamants et reliées par des anneaux d'or - au Savoy.
(Françoise Hardy : ) C'est venu d'une relation commune. J'avais appris que Paco Rabanne voulait faire des choses pour moi. C'était au moment où je me disais que je ne pouvais pas venir deux fois de suite au Savoy avec la même tenue. Je m'y suis rendue avec cette tenue de 16 kilos, je ne pouvais pas bouger. La robe était tellement lourde que l'entrejambe descendait. il fallait que des ouvrières et non des couturières viennent de Paris me la remonter avec des tenailles.

C'est très curieux.

La minirobe en or


La combinaison de scène

J'adore la présence du garde du corps couvert d'or! 

S'agirait pas qu'on nous la braque - déjà qu'elle est pas d'humeur! 

La robe était estimée à l’époque à plus de 12 millions de francs (presque l’équivalent de 2 millions d’euros). Elle nécessitait bien entendu la protection rapprochée de quelques vigiles…

Les autres erreurs relevées dans la partie "entretien avec Françoise Hardy" (pages 24 à 49)

Date :
Page 27 : Signature chez Vogue en 1962 (au lieu du 14 novembre 1961)

Les titres de chansons erronés :
Page 26 : Pas gentil (au lieu de Pas gentille)
Page 32 : La jeunesse fout le camp (au lieu de Ma jeunesse fout le camp)
Page 45 : Tu ressembles à tous ceux qui ont du chagrin (au lieu de Tu ressembles à tous ceux qui ont eu du chagrin)

Barnard a écrit:

Je l'ai acheté mercredi et il y a une bourde énorme. On en recause .

De quelle "bourde" parlais-tu ?

Cherchez encore un peu… comme un jeu.

Les approximations relevées dans la partie "Le petit Hardy illustré" (pages 50 à 57)

Page 51 - " Richard Anthony " : Sur 1er EP enregistré à Londres, il y a trois adaptations et non seulement deux, I wish it were me étant également une adaptation d'une chanson de Françoise Hardy (J'aurais voulu).

Pages 56 - " Scène " : Schnock présente l'Olympia du 7 novembre 1963 comme la première scène de Françoise Hardy. C'est oublier quelques prestations isolées (ex. Gala Disco Revue de Nancy de novembre 1962) et surtout les premières tournées avec Richard Anthony (mars avril 1963) puis Mouloudji (juillet août 1963). Ce n'est peut-être cependant qu'un problème de formulation si on se réfère à la mention ambiguë "La première scène de Françoise Hardy se fera à l'Olympia, du 7 novembre au 12 décembre 1963, un an seulement après ses débuts"

Page 57 - " Vogue " : Au secours ! Françoise est devenue François !

La partie cinéma (Pages 68 à 75).

Je l'avais survolée à la première lecture alors qu'une perlouze magnifique m'attendait à la relecture.    

Page 69 : Petit teasing : accroche décoration avant le grand plongeon dans le dérapage incontrôlé de la page 74.

Page 70 : Photo de château en Suède légendé de 1967 au lieu de 1963.

Page 72 : J'ai dû louper un truc. Françoise aurait chanté une chanson à la guitare sur la b.o. d'une balle au cœur sur une musique de Miki Theodorakis. Ok elle est sur la pochette du disque avec Samy Frey mais pour le reste, on ne doit pas avoir le même EP.  

Page 73 : La légende de la photo peut faire croire que l'homme en compagnie de Françoise Hardy est Antonio Sabato alors qu'il s'agit de Jack Brabham. Il est dit que Catherine Spaak reprend "Tous les garçons et les filles" en français et en italien (Quelli della mia eta) en 1966 alors que la reprise date de 1963.

Page 74 : Là on arrive probablement à ce que Barnard appelle "la grosse bourde"    sinon je me pince   .  Pierre Léonforte qui a pourtant traité le dossier cinéma à fond....    a simplement oublié de prêter à Françoise Hardy certaines activités cachées, en se contentant de se concentrer avec moult détails sur sa carrière méconnue de décoratrice de cinéma pour 7 films !      
Là je dois dire que c'est très fort ....  
Il a oublié de dire que Françoise Hardy était aussi peintre reconnue en Belgique et à l'île Maurice, couturière à Auxerre et à ses temps perdus commissaire divisionnaire responsable de la sécurité routière à la préfecture de police... (Cliquez sur les liens, vous comprendrez mieux )
Heureusement, le ridicule ne tue pas.    Merci à vous Pierre Léonforte, ça m'a fait bien rire  Mais bon ça fait pas sérieux.

Enfin, dans les deux pages consacrées à Patrick Modiano (hors périmètre cinéma   )
Page 81 - Étonnez-nous Patrick... !

Selon Schnock "Étonnez-moi, Benoît... !" atterrit entre les mains et les oreilles de Françoise Hardy, qui l'enregistre aussitôt.
Ce raccourci mérite quelques précisions. Françoise Hardy se confiait à ce sujet au Figaro en janvier 2012.

LE FIGARO LITTÉRAIRE. - Vous souvenez-vous de votre première rencontre avec Patrick Modiano ?
Françoise HARDY. - Un jeune homme, Hugues de Courson, qui cherchait à placer ses chansons m'avait demandé un rendez-vous dans ce but. Aucune ne me plaisait. En désespoir de cause, il m'en a fait entendre une dernière, qui, selon lui, n'était pas du tout pour moi. C'était Étonnez-moi Benoît. J'ai trouvé ça si original, si saugrenu, que je l'ai aussitôt retenue. Le texte était de Patrick. Il me semble que nous avons fait connaissance à la suite de ça, mais je ne me souviens plus de la première rencontre.
http://www.lefigaro.fr/livres/2012/01/17/03005-20120117ARTFIG00748-francoise-hardy-modiano-paraissait-desincarnedistrait.php

J'ignorais qu'il y avait autant de Françoise Hardy. 

Ce qui est inquiétant, c'est qu'on se dit que les articles "de fond" sur les personnalités de précédents numéros ont dû être de la même facture. 

On ne serait pas en train de lui tailler un short, au trimestriel? 

En fait le dossier est divisé en chapitres.
Le chapitre le plus intéressant est l'entretien avec Françoise Hardy qui ne contient que des erreurs assez mineures.
En revanche on voit bien que le chapitre "cinéma" a été largement bâclé.
Il y a un autre chapitre consacré aux Vénusiennes qui lui est très réussi.
En fait tout dépend de l'implication du journaliste.... et de son habileté à faire des recherches sérieuses.

De mon point du vue, comme le dossier "cinéma" est très marginal dans la carrière de Françoise Hardy, le magazine est quand même valable car il donne un résumé hardyen globalement acceptable avec pas mal de photos.

Il aurait suffit d'une relecture plus attentive par un "spécialiste" et l'ensemble aurait pu être vraiment top. Mais c'est vrai que sur le dossier "cinéma" y a un très gros raté....

Au fait, j'ai retrouvé un très vieux post où nous nous étions nous même interrogé sur la "Françoise Hardy" décoratrice pour en conclure qu'il ne pouvait pas s'agir de "notre" Françoise Hardy.  
Ici

Afin de rendre plus fluide la lecture du post consacré au livre "Françoise Hardy, un long chant d'amour", je me permets de réintégrer ici quelques échanges de ce jour davantage consacrés à "Schnock"

Jérôme a écrit:

J'ai presque terminé le livre ("Françoise Hardy, un long chant d'amour")et je dois dire que c'est une très bonne surprise.

Barnard a écrit:

Voilà quelqu'un qui sait se servir des infos postées sur le net à la différence des collaborateurs de Schnock…
Il a l'honnêteté de dire que sans Erik Doorme, Romain Pontaud ou les fans qui communiquent sur la chanteuse rien n'aurait été possible.

Je pense qu'il ne faut pas mettre un trimestriel sur le même pied d'égalité qu'un livre même s'ils ont tous deux l'ambition de dresser une biographie subjective.

Le trimestriel a fait de son mieux. Après avoir donné carte blanche à chacun de ses rédacteurs, il n'a malheureusement pas su trouver un coordinateur général pour assurer une relecture critique efficace. Le résultat était loin d'être honteux mais au final trop émaillé d'erreurs pour donner pleine satisfaction.

Frédéric Quinonero disposait de davantage de temps (du moins je le suppose), ce qui lui a permis de se documenter sur le net et de creuser des points obscurs ou peu souvent traités en interviewant diverses personnalités comme : Ermes Alesi (un des musiciens de Françoise Hardy) Marie-Françoise Hendrickx, René Koering, Zouzou etc. De plus, disposant d'une réelle capacité d'analyse, il a su trier les informations pour en extraire un parcours complet, cohérent et convaincant.

Il est d'ailleurs selon moi très positif que l'auteur ait limité la partie consacrée au cinéma à une évocation minimale, ce média ayant joué un rôle fort anecdotique dans la carrière de Françoise Hardy.

Par ailleurs, j'ai rarement vu une annexe aussi riche détaillant chaque chanson et ses reprises où il est clair que le site a joué un rôle source important.

Citation :

Le trimestriel a fait de son mieux. Après avoir donné carte blanche à chacun de ses rédacteurs, il n'a malheureusement pas su trouver un coordinateur général pour assurer une relecture critique efficace. Le résultat était loin d'être honteux

Je peux t'assurer qu'ils ont la honte pour avoir parlé du second métier de Françoise décoratrice de cinéma !
C'est une preuve de nullité journalistique et c'est impardonnable
pour un article, un trimestriel ou un livre. Tout travail se doit d'être bien fait.

La partie "Cinéma" est effectivement un gros raté au sein de cette revue. Je regrette bien sûr une défaillance aussi importante qui jette le discrédit sur le trimestriel mais il reste suffisamment de choses intéressantes à retenir.

Par indulgence, j'ai opté pour une erreur commise par naïveté plus que par désinvolture afin de ne pas jeter le bébé avec l'eau du bain, pour moi le long entretien avec Françoise Hardy compensant largement cet écueil.