Valsa para uma menininha (Berceuse)

Valsa para uma menininha

Composée en 1972
Musique et Texte : Toquinho et Vinicius de Moraes
Chantée par Toquinho et Vinicius de Moraes

Françoise Hardy la reprendra en 1973 en français
sous le titre Berceuse

La version réenregistrée par Toquinho "seul" en 1980


D'autres reprises de... Valsa para uma menininha

Meric Jérôme! C'est trop mignon ce petit clip un peu "has been" avec ses fondus enchaînés et ses pastels flous façon D. Hamilton.

Excellente interprétation et instrumental minimaliste qui sied bien à la chanson.

J'ai adoré !

Qu'est-ce qu'il est mignon ce gamin ! Et puis la complicité avec son papa est évidente. La guitare volontairement hésitante donne un aspect non professionnel qui amplifie l'émotion.

Oui, moi itou, j'adore. Françoise aurait-elle pu l'interpréter comme çà avec Thomas pour lui sourire ?

Hum Hum....

Une autre vidéo de la version de Toquinho

Ecoute Jérôme, concernant cette berceuse, il y en a de plus belles que celle que tu as choisie et qui est vraiment très laborieuse.
( je soutiens toujours que c'est inspiré de Brahms !! ), mais j'aime beaucoup.

VERSION VINICIUS DE MORAES
couplet 1
Petite fille de mon coeur
Je ne veux que de toi
Haute comme trois pommes (main)
Petite fille ne grandis pas plus
Reste petite dans ma chanson.
Petite dame coquine
Tapant des mains
En faisant semblant d'avoir peur
du grand méchant loup (ogre)

Couplet 2
Petite fille que tu es gracieuse
Une si petite chose
Qui commence à vivre
Reste ainsi mon amour
Sans grandir
Parce que le monde est mauvais
Et tu vas souffrir rapidement,
Ce sera une désillusion
car seule la vie
sera ton ôgre

Refrain
Reste ainsi,reste ainsi
Toujours ainsi
Et souviens toi de moi
Pour les choses que je t'ai données
Et aussi ne m'oublie pas
Quand tu sauras enfin
Tout ce que j'ai aimé.

(Vinicius de Moraes/Antonio Pecci Filho)
adaptation française Georges Moustaki utilisée par FRANCOISE HARDY

Mon amour, mon bonheur, mon tourment
Je veille ton sommeil comme on veille un enfant
Les yeux clos, le visage apaisé
Je t'entends respirer, tu souris en rêvant

J'imagine tes rêves peuplés de princesses
De lampes magiques, de grands méchants loups

Mon amour, reste là sans bouger
Sans grandir, sans vieillir, le temps s'est arrêté
Mon amour, reste là sans parler
Nous sommes dans un monde étranger
Étranger où les fleurs nous racontent des contes de fées
Où toutes les légendes sont réalités

Reste là, sans bouger, mon amour
Et s'il faut que demain, cesse l'enchantement
Et que la vie reprenne son cours
Désormais rien ne sera plus tout à fait comme avant
La, la, la.

La version de Túlio Oliveira