27 mai 2013 - Soirée spéciale Françoise Hardy sur France Inter

Rappel du premier message :

Valli préparerait pour le 27 mai une soirée spéciale "Françoise Hardy" sur France Inter.

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Sur France Inter, les plus attentifs auront remarqué l'organisation récente ou à venir de soirées spéciales, avec du live (Alt-J le 30 avril dernier, Vanessa Paradis le 17 mai prochain, Françoise Hardy, le 27 mai) ; elles pourraient laisser présager d'autres rendez-vous plus réguliers à partir de septembre.

La présentation de la soirée Paradis a été confiée à Rebecca Manzoni (qui avait déjà co-animé la retransmission d'un concert de Camille et des Victoires de la Musique 2013) ; celle de la soirée Hardy est entre les mains de Valli (dont l'excellent Pop etc... serait d'ores et déjà reconduit).
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source : http://www.telerama.fr/radio/france-inter-lavige-et-levaillant-quitteraient-l-antenne,97459.php

22h05 Françoise explique qu'elle a le trac pour les artistes qu'elle aime quand ils sont sur scène. Pincement de coeur supplémentaire quand il s'agit de Thomas Dutronc.

Il se lance avec une chanson à lui : "On ne sait plus s'ennuyer"...

Je te fais le résumé des nouvelles: François Coppé attends le vote des militants , bla bla , Hollande et le mariage homo, la Corse, bla bla, tennis à Roland Garros, Nadal, pas terrible ...

A toi Jérôme ...

Ça swingue bien et on sent le "bon" coup d'adrénaline qu'envoie le chant en direct.

La maman va forcément adorer...

22h10 Petit Thomas présente ses musiciens (Pierre Blanchard au violon) et explique qu'il n'interprètera pas Sésame (chanson préférée de maman) car il avait trop peur de se planter... Alors il chante Comme un manouche sans guitare...

22h13 Applaudissements....

Très très bon choix s'exclame maman...

22h14 Thomas raconte qu'il est fier et heureux que sa mère le suive et lui fasse des réflexions qui l'aident à avancer. Mais parfois quand ça s'est mal passé, maman a tendance à lui redire alors qu'au final il vaut mieux surtout valoriser les bons moments.

22h16 Rappel de la collaboration de Françoise avec son fils pour Tant de belles choses où la voix de Françoise est "très belle". (dixit Thomas)

Françoise rappelle quand même que pendant le studio elle est très nerveuse pour que la durée d'enregistrement ne soit pas trop consommatrice de temps.

Par hasard on apprend aussi que Françoise n'a jamais été fan des Beach Boys.

Arrive Maissiat.

22h21 Bon, sans surprise Maissiat interprète Le Départ. Je m'ennuie à mourir.

Heureusement elle enchaîne avec Gin Tonic.

22h23 Note finale de l'accompagnement au piano.

Françoise lance un "merci beaucoup" pour Gin Tonic. Étonnamment Françoise trouve que Le départ est une chanson sublime. Comme quoi tous les goûts sont dans la nature.

Françoise est heureuse de se rappeler de l'enregistrement de Gin Tonic et fait un bon compliment sur les talents de musicien de Gabriel Yared.

22h25 Arrivée de Sophie Hunger.

Françoise explique que Sophie Hunger la bouleverse. Je suis incapable de citer les titres encensés par Françoise car je ne parle pas du tout allemand.

Sophie Hunger raconte sa rencontre avec la musique française et attribue "Laisse tomber les filles" (de France Gall) à Françoise. Mauvaise pioche. Rires de la salle.

Sophie se rattrape en citant la version française de Suzanne que Françoise rappelle avoir beaucoup chanté sur scène. .

22h28 Sophie Hunger chante un nouveau titre de son répertoire, en anglais. Je crois que c'est She's so ugly ou On the market place ? ( )

Beaucoup de cuivres, de piano, de voix tonitruante. Très particulier comme répertoire. Disons que je n'accroche pas tellement.

21h31 Sophie Hunger enchaîne avec une autre chanson qui ne me touche pas tellement non plus. Décidément, je ne suis pas au diapason avec cette chanteuse malgré tout le bien qu'en pense Françoise.

22h34 Ouf c'est fini.

Françoise applaudit l'artiste pleine de sensibilité.

Françoise Hardy reçoit une petite pique parce qu'elle est capable de renier son passé mais Françoise explique qu'au bout de 50 ans, elle en a le droit.

22h37 On doit enchaîner avec l'émission de Didier Varrod....

22h37 Début de Radio vinyle.

Françoise se fiche des contenants (au niveau des collections) mais aime surtout les contenus. Elle achète davantage chanson par chanson que par vinyle parce qu'elle aime surtout certains titres.

Françoise se dit ravie de l'apparition de CD contrairement au vinyle qui n'était pas très fiable.

22h40 La chanson du bon et des méchants....

Françoise : "A chaque fois que je l'entends je pleure...."

Didier Varrod lance la chanson et Françoise chantonne avant même que le disque ne commence. On entend alors Jacques Dutronc : "Je ne savais rien.... ne connaissais rien... je prenais la vie comme elle vient....etc."

Mélodie très belle de Francis Lai sur un texte de Philippe Labro où Françoise a l'impression que Jacques parle de lui même.

22h42 On passe à O Carol de Neil Sedaka.

Françoise rappelle qu'à l'époque elle écoutait beaucoup la branche anglaise de Radio Luxembourg. Elle s'extasie avant même que la chanson ne commence....

22h44 Françoise explique que seule la chanson dans sa globalité l'intéressait à l'époque. Elle avoue avoir été sensible aux physiques des chanteurs comme par exemple celui de Elvis Presley...

On passe à Véronique Sanson qui reste la créatrice d'un album génial qui a largué toutes les chanteuses en apportant des nouveautés merveilleuses.

Françoise passait beaucoup de Véronique Sanson à son fils quand il était très petit et ça le calmait. C'était la première fois que Françoise entendait des cordes sans rien d'autre pour les gonfler "comme d'horribles flutes par exemple".

Dis lui de revenir....

22h48 Commentaire : Petit bijou....

Etienne Daho : Des heures hindous. Chef d’œuvre absolu dont on ne se lasse pas. Françoise rappelle qu'Etienne lui avait proposé de la lui céder mais c'était trop tard...

Françoise ne joue pas à la star auprès d'Etienne Daho même s'il a écrit un livre de fan sur elle car très vite elle est devenu la fan de son fan ce qui les a mis sur un pied d'égalité.

22h51 Françoise : Ça a toutes les qualités pour être un standard international...

Petit morceau de musique classique : l'adagio du concerto n°2 de Rachmaninov.

Françoise l'a découvert sur un enregistrement des années 60 avec un son époustouflant et des cordes mises en valeur dominante par rapport aux autres instruments. La tristesse de Rachmaninov lui convient parfaitement. Cela lui permet de dire que sa musique vient beaucoup plus du coeur que de la tête.

22h54 Françoise raconte sa passion pour Hélène Grimaud et l'intérêt qu'elle a suscité par ricochet pour Martha Argerich qu'elle vénère absolument.

Françoise trouve que l’œuvre de Mozart est considérable et qu'il en découle une grande proportion d’œuvres à jeter.

22h56 Françoise estime sa voix trop limitée pour envisager tout éventuel album symphonique.

L'adagio commence et Françoise s'émerveille en disant que souvent les plus belles œuvres ont été composées par des compositeurs très jeunes.

Elle dit aimer aussi l'Orage de Vivaldi (extrait des 4 saisons).

La fin de l'émission est précipitée parce que visiblement le direct a un peu trop débordé....

Au revoir Françoise et à la prochaine !

Pour se rattraper, rien de mieux que de se pencher sur la vidéo.


Françoise Hardy dans Radio Vinyle #25 sur... par radiofrance

L'émission peut bien sûr être réécoutée.

Et bien, Jérôme, merci. Je suivais l'émission et j'avais tes commentaires quasi en direct....
T'es un vrai de vrai fana, tout en restant très objectif.

J'ai adoré l'émission et j'ai tout revécu en relisant ce mini-maxi reportage en direct de Jérôme. Merci pour ce zèle à suivre et reporter l'évènement. J'ai A DO RE !

Françoise Hardy et Valli, vues des coulisses de France Inter

Radio | Entourée d'autres artistes, François Hardy était, lundi 27 mai, l'invitée d'une soirée spéciale sur France Inter. Nous y étions.

Le 31/05/2013 à 13h10 - Mis à jour le 31/05/2013 à 15h32
Reportage : Charlène Nouyoux

Elle est connue pour son franc-parler, qui peut parfois faire mal... Lundi 27 mai 2013, Françoise Hardy était l'invitée d'une soirée spéciale sur France Inter : deux heures d'interviews et de live, en public et en direct, orchestrées par l'animatrice Valli. La chanteuse avait elle-même choisi les invités (Rover, le Prince Miiaou, Rodolphe Burger, Maissiat, Sophie Hunger...). Sa spontanéité, son goût prononcé pour la précision et sa hantise de l'improvisation planaient comme autant d'inconnues – voire de menaces – dans le studio Charles Trenet...

La suite à écouter sur le site http://www.telerama.fr/radio/francoise-hardy-et-valli-vues-des-coulisses-de-france-inter,98278.php

Le sujet est plutôt creux et en même temps il en dit beaucoup sur la crainte qu'inspire Françoise Hardy aux intervieweurs qui craignent ses réparties cinglantes...

Avec Françoise il faut dire que la franchise peut s'exprimer à travers des propos assez secs voire cinglants.