RésuméSon lamento accompagne toutes les époques depuis soixante ans. Fin de la série French collection avec celle qui a inspiré des garçons et des filles de la chanson en contre-jour.
En savoir plusFrançoise Hardy a beaucoup collaboré avec des musiciens anglais. Dans les années 1960, elle était toujours fourrée à Londres pour faire des concerts, à l’hôtel Savoy notamment. Ou pour enregistrer dans les studios en vogue. Elle a pourtant beaucoup écouté de chansons françaises. Celles des mélodistes de Charles Trenet à Georges Brassens.
Car pour elle, la mélodie est aussi centrale que l’église au milieu du villageSon style est comme une onde qui se déploie depuis cette source, celle de Trenet, qui s’étend jusqu’en Amérique, celle des Everly brothers notamment, en passant par le Brésil pour l’indolence et encore une fois, la sacro-sainte mélodie. Notons qu’elle a eu l’aplomb d’écrire ses premières chansons. Même si elles sont un peu naïves, à l’époque, ce n’était pas courant. Et puis elle aura toujours un chic imparable pour repérer et adapter à sa voix de petits joyaux écrits par d’autres.
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Source : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/french-collection/french-collection-du-samedi-20-aout-2022-6760270