Quand Hardy rencontre Dali...

Jean-Marie Périer raconte en images la rencontre de Françoise Hardy avec Dali en 1967

Ce qui est assez curieux dans le commentaire de Jean-Marie Périer c'est qu'il laisse entendre qu'au moment de la visite chez Dali (en 1967), il "tenait encore la main de la grande" (pour reprendre son expression) alors que la rupture de Françoise et de Jean-Marie datait de plus d'un an (été 1966)... mais avec le temps peut-être que ces choses là se romancent d'elles même.... d'autant que ces photos ont été édités dans le numéro de novembre 1968 (n°75) de Salut les Copains !

Alors finalement, cette rencontre c'était quand exactement ?

Le contraste entre les yeux illuminés de Dali et la sérénité de Françoise est assez saisissant. Ca ne devait pas être facile de côtoyer ce personnage...

Je ne peux dire rien autour de Cadaqués des années soixante, mais j’ai suivi les traces de Picasso et Dalì en marchant sur les petites routes de le Saint-Tropez de la Costa Brava en 1989 et le 10 Juillet j’ y ai dessiné ce vieux clocher sur une page transparent de mon cahiers de vacances. Aujourd'hui 6 fevrier 2009 j'ai mis la vieille page sur la pochette d’un 45 tours de Françoise Hardy. L’art est toujours une première rencontre!

Merci pour le dessin ! C'est très sympathique !

J’ai fait un clip avec sur un happening en plein air qui s’est passé il y a vingt ans avec des enfants qui en ce moment sont des personnes de trente ans ou plus. La chanson parle d’une bête inventée, animal et végétal en même temps (crapaud et plaqueminier), et il ya aussi la citation de l’histoire du prince crapaud qui devient humain merci le baiser de la princesse (l’amour). Le contraste entre le monde de Françoise Hardy et celui – la de Salvador Dalí (dont Alexandre parle en quelque manière à propos de la photo de Jean-Marie Perier) devient en même temps très harmonieux merci les moustaches (l’humour)!

Salvador Dali nous avait justement quittés en 1989, le 23 janvier.

J'adore ces photos ! L'excellent Dali avec "L'excellente" en voilà une rencontre qui a dû être belle et intéressante pour la jeune Françoise à l'époque. Étant moi-même une férue d'art, j'aime l'univers fantaisiste de cet artiste complètement farfelu. Quel style et surtout quelle audace ce Dali !