Trimestriel avril-mai-juin 2024 - Album Spécial "Françoise Hardy"

Pour son 4ème numéro, le trimestriel "Album Spécial" consacre l'intégralité de son magazine à Françoise Hardy sur 132 pages.

Le magazine coûte 19,50 € en kiosque mais peut aussi être acheté au format numérique pour 9,75 € directement sur le site Lafont presse.

Aucune autre chanteuse ne ressemble et ne ressemblera jamais à Françoise Hardy ! Entre écorchée vive et innocence,
elle va, durant 50 ans de carrière, promener sa silhouette longiligne au gré de ses humeurs et de son inspiration.
Auteure, compositrice, actrice, écrivaine, elle l’est unique en son genre, aussi douée avec les mots qu’avec la musique,
elle reste l’unique artiste française à être dans le top 200 des plus grands artistes de tous les temps… Ce qui prouve
son importance dans le panorama de la chanson française.
Merci Mademoiselle Hardy pour toutes vos chansons, passées pour beaucoup à la postérité et dans la mémoire collective des Français…
L’icône de la chanson française, c’est elle…
Outre son formidable talent de mélodie, Françoise incarne à merveille le temps de Salut des Copains , celui d‘une
génération de chanteurs restés chers au cœur de tous les Français et pour tous les garçons et les filles de mon âge …
Bonne lecture

La pire chose jamais publiée sur elle.

Le dernier numéro d'Album Spécial sur Françoise Hardy suscite en effet quelques réserves. En parcourant ses pages, la profusion de photographies souvent emblématiques de Françoise Hardy ne peut être ignorée, tout comme la qualité de la mise en page qui rend bien hommage à sa photogénie singulière des années 60 et 70.

Cependant, il est regrettable que le magazine n'ait pas clairement spécifié sa focalisation exclusive sur ces deux seules décennies. L'absence de mention préalable sur cette restriction thématique a certainement déçu ceux qui espéraient une rétrospective plus complète. Les quelques lignes superficielles évoquant le reste de sa carrière jusqu'à nos jours ne peuvent pas suffire à combler cette lacune. En même temps, on pouvait s'y attendre en raison de la couverture sobre du magazine où ne figure aucune information autre que le nom de l'artiste et une jolie photo des années 60.

Les fautes de frappe et d'orthographe sont également incontestablement problématiques. L'utilisation inappropriée de pronoms et de termes ("il" pour "elle", "chanteur" pour "chanteuse", etc.), ainsi que les erreurs répétées de genre grammatical, témoignent d'un manque de rigueur éditoriale. Il semble même que certaines sections aient été traduites sans bénéficier d'une révision attentive, laissant subsister des coquilles flagrantes (la célèbre boutade de Bouvard : "l'endive du twist" est devenue par exemple "l'endive de la torsion").

De plus, des erreurs de mise en page, comme le commentaire concernant la chanson "L'amour s'en va" placé après le texte du titre "La fille avec toi", nuisent à la cohérence et à la lisibilité du contenu. Ce manque de contrôle éditorial donne l'impression d'un ouvrage bâclé, qui aurait gagné à être relu et corrigé avant sa publication.

Il y a aussi quelques erreurs dans les dates ou dans les anecdotes mais cela reste globalement raisonnable pour ce type d'ouvrage réalisé par des non-spécialistes.

Le magazine n'aspire cependant qu'à offrir une rétrospective divertissante de la carrière d'une grande artiste, en se concentrant sur ses aspects les plus connus. Pour le grand public, les erreurs mentionnées peuvent sembler mineures, mais pour les fans, elles sont décevantes voire agaçantes, surtout compte tenu du prix élevé auquel le magazine est vendu.

En résumé, ce numéro d'Album Spécial sur Françoise Hardy aurait dû bénéficier d'une révision plus poussée et sérieuse pour éliminer les imperfections évidentes. Cependant, il ne faut pas le condamner comme une publication honteuse, mais plutôt le considérer comme une occasion manquée de rendre justice à la carrière exceptionnelle de Françoise Hardy. Il est à craindre que les numéros précédents de la série "Album Spécial" consacrés à d'autres artistes comme Florent Pagny, Michel Sardou et Hugues Aufray puissent présenter des défauts similaires.

Impardonnable cette m...e.
On m'a dit que c'était écrit en intelligence artificielle, mais à la base de quels documents ?
40 pages sur le premier disque qui passe de 1 à 2 puis revient à 1 million de ventes.
Des ronds dans l'eau du film de Lelouch "Les rencontres de Paris" !
La carrière de 88 à 2018 complétement occultée !
Des photos placées n'importe où et certaines moches pas chères certainement.
Des erreurs graves à chaque page.
Que ce soit pour le grand public est encore pire, puisqu'il ne saura pas discerner le vrai du faux.
De toute façon seuls les fans achèteront (pas tous j'espère) ce torchon.
Presque 20 euros quand même…

Le prix élevé du magazine peut justifier de fortes attentes en termes de qualité et d'exactitude. Il est effectivement décevant que ces attentes n'aient pas été pleinement satisfaites.

Même si on peut souligner des problèmes sérieux comme l'omission de la carrière de Françoise Hardy après les années 70 et des erreurs factuelles, il convient néanmoins de noter qu'il y a également de nombreuses photographies de qualité dans ce numéro. Certaines peuvent être "moches" ou "mal placées", mais c'est loin d'être la règle.

Je ne sais pas si le texte a été généré par une intelligence artificielle mais même si c'était le cas, cela n'excuse en rien le processus de relecture avant publication qui semble avoir été négligé, voire omis. C'est surtout là que le bât blesse.

A noter que je fais référence au magazine comme une actualité, mais je ne le considère en aucun cas comme une source d'information fiable ou de qualité. Je suis d'accord pour dire que les aspects positifs du magazine ne compensent pas les erreurs flagrantes du contenu éditorial (surtout visibles aux yeux des fans).

"twist" devenant "torsion" me semble être une erreur typique d'intelligence artificielle. 

Non pas que je la connaisse personnellement, hein! 

Amusant aussi "La scène swingante" pour swinging London.
Pourquoi ne pas traduire London par Londres ?
"Des pulls, des Trains à taille haute, des bottes de conduite… des chemises à dépouillés"…
Obsession des albums sans titre,
Appelé Hardy pendant tout le magazine.
Beaucoup de photos avec un collier et tenue (un peu hippie).
Photos vues et revues (cliquer sur google) etc.
J'espère que "le grand public" aura plutôt acheté le spécial Paris-Match sorti en janvier

Je crains que cette répétition dans la critique de ce magazine ne finisse par lui faire involontairement de la publicité. Par ailleurs, les arguments avancés ne me semblent pas toujours entièrement solides. Par exemple, de nombreux albums de Françoise Hardy ont été publiés sans titre, ce qui rend délicat le reproche adressé au magazine. Par ailleurs, il me semble légitime pour un magazine de choisir les photos qu'il estime les plus appropriées, quelles que soient leur notoriété. Enfin, bien que peu courant en France, désigner dans la presse les artistes par leur simple patronyme est une pratique répandue dans les pays anglo-saxons. Plutôt que de continuer à critiquer ce magazine, je pense qu'il serait plus enrichissant de partager des informations intéressantes sur d'autres sujets liés à Françoise Hardy. Personnellement, sauf nécessité absolue, je ne pense plus rien écrire à propos de ce trimestriel.